À propos

Yosha, c’est l’histoire d’un projet fou… certainement le projet professionnel d’une vie.
Un beau rêve, un rêve enfoui, l’envie de prendre soin de vous de l’extérieur et de l’intérieur… deux notions indissociables pour l’équilibre de notre être.
L’envie de prendre le temps avec vous, de se détendre, d’échanger et se reconnecter.
Se reconnecter à son ressenti, à ses émotions par la détente et ce sens essentiel qu’est le toucher.

J’ai la chance d'avoir une maman qui a toujours fait de l’équilibre intérieur sa priorité. Cette recherche d’harmonie a été d’autant plus accentuée suite à l’apparition d’un gros souci de santé à l’adolescence. En quête de mieux-être dans cet épisode douloureux, nous nous sommes davantage tournées vers des méthodes douces.

Bachelière en droit de formation et employée dans une fonction juridique depuis plusieurs années, mon aspiration à donner plus de sens à ma vie n’a cessé de croître. Je me suis alors formée et intéressée à des sujets qui me passionnent pour acquérir des connaissances au sens large (nutrition santé, soin de soi au naturel, écologie, etc) et ainsi définir peu à peu ce qui me faisait vibrer.

C’est alors devenu évident : je voulais mêler bien-être intérieur et beauté extérieure. Je voulais proposer des soins qui prennent en compte l’humain dans sa globalité, la santé de manière holistique.

Le visage m’a toujours fasciné. Apparat de relation et de séduction, il est surtout le reflet de notre âme et est perpétuellement visible de tous.

La pratique de Yoga du visage et de massages orientaux consacrés spécifiquement à cet organe a été une révélation. Mêlé à cela l’utilisation de produits cosmétiques naturels de la meilleure qualité et d’outils de beauté sourcés éthiquement à la main, ces disciplines ne peuvent que combler mes attentes.

Je me sens aujourd’hui plus alignée que jamais et heureuse d’avoir sauté le pas vers une vie différente, en accord avec l’humain et la nature.

Je vous souhaite le meilleur et me réjouis de prendre soin de vos merveilleux visages.

Avec tendresse,

Charline